There are many facets to the Jardin du Luxembourg. It is a beloved hang-out for those who want to read a book, talk with a friend, soak up the sun, sail a boat in the grand basin. There are amusements for children, and tennis courts for adults. More than 100 statues (106 to be exact). 23 hectares (about 57 acres), 21 of which are open to the public. Created at the request of Marie de Medici, widow of Henry IV, beginning in 1612, the initial design was done by Jacques Boyceau, re-imaged by André Le Nôtre in 1635. It required nearly ten years to rebuild the Roman aqueduct running from Rungis, 11 kilometers away, to supply the basin… an aqueduct still running today, and a significant engineering feat in its own right.
For me, there are many magical parts of this garden, but I especially love the allées of trees at the southern end — as I love them in the Tuileries, in the Palais Royal… What the French do to and with trees continues to be a source of wonder to me.
This is the first piece in what will be a multi-piece process exploring the relations of Paris’ parks to its history, with a focus on those parks associated with a moment of violence in French history. In the case of the Jardin du Luxembourg, there have been several: the destruction of the former Le Monastère Chartreux in the Terror; in the Paris Commune of 1871 the grounds around Luxembourg palace served as dumping ground for the bodies of the Communards killed by government forces; the Palace was the headquarters of the Luftwaffe and the SS during World War II; and it was the last German stronghold in Paris to surrender; it also includes a statue commemorating students active in the Resistance.
What is fascinating is the evolution of these spaces, and the redemption and renewal, as well as the poignant sense of history they exemplify.
I welcome comments about this particular garden, as well as comments and suggestions about other parks within the city of Paris that have seen moments of violence and are now places of respite and grace.
Le Jardin du Luxembourg présente de nombreuses facettes. C’est un lieu de rencontre apprécié de ceux qui veulent lire un livre, parler avec un ami, profiter du soleil, faire de la voile dans le grand bassin. Il y a des divertissements pour les enfants et des courts de tennis pour les adultes. Plus de 100 statues (106 pour être exact). 23 hectares, dont 21 ouverts au public. Créé à la demande de Marie de Médicis, veuve d’Henri IV, à partir de 1612, le projet initial est réalisé par Jacques Boyceau, réimaginé par André Le Nôtre en 1635. Il fallut près de dix ans pour reconstruire l’aqueduc romain qui partait de Rungis, à 11 kilomètres de là, pour alimenter le bassin… un aqueduc qui fonctionne toujours aujourd’hui, et qui constitue en soi un exploit d’ingénierie.
Pour moi, il y a beaucoup de parties magiques dans ce jardin, mais j’aime particulièrement les allées d’arbres à l’extrémité sud – comme je les aime aux Tuileries, au Palais Royal… Ce que les Français font aux arbres et avec eux continue d’être une source d’émerveillement pour moi.
Il s’agit de la première pièce de ce qui sera un processus en plusieurs parties explorant les relations entre les parcs de Paris et son histoire, en mettant l’accent sur les parcs associés à un moment de violence de l’histoire française. Dans le cas du Jardin du Luxembourg, il y en a eu plusieurs : la destruction de l’ancien Monastère Chartreux pendant la Terreur ; lors de la Commune de Paris de 1871, les terrains autour du palais du Luxembourg ont servi de dépotoir pour les corps des communards tués par les forces gouvernementales ; le palais a été le siège de la Luftwaffe et des SS pendant la Seconde Guerre mondiale ; il a été le dernier bastion allemand à Paris à se rendre ; il comprend également une statue commémorant les étudiants actifs dans la Résistance.
Ce qui est fascinant, c’est l’évolution de ces espaces, la rédemption et le renouvellement, ainsi que le sens poignant de l’histoire qu’ils illustrent.
Je vous invite à me faire part de vos commentaires sur ce jardin particulier, ainsi que de vos commentaires et suggestions sur d’autres parcs de la ville de Paris qui ont connu des moments de violence et sont aujourd’hui des lieux de répit et de grâce.
Watercolor, gouache, graphite, pen and ink on Arches paper
Aquarelle, gouache, mine, encre sur papier aquarelle Arches
As always, beautiful, insightful and inspirational. Look forward to these. Keep it up.
Thanks, Lyle!