2016.10.20 The weight of opinion

One of the striking aspects of life these past couple of weeks has been the recognition — and experience — of the cultural, political, professional, and personal differences between the United States and France. Those differences are intensified by my lack of understanding as to how things function, or what they mean, and sometimes the differences can seem overwhelming. Take, for example, finding an apartment. Even in the United States, where I more or less understand the process and the possibilities, it can be a daunting task; here, with everyone telling me it’s VERY DIFFICULT to get an apartment, the process has felt, at times, hopeless, and that hopelessness has been intensified by the fact that the process is so different from what it would be in the US.

Enter the transformative power of art. Through art I’m able to look at that purported weight of opinion, and also able to look at how I want to respond to it; the responses can range from simply being aware of it, to accepting it, rejecting it, or trying to find a middle path that allows for the differences and still pushes forward. And it goes back to a recent post about the stories we tell ourselves — and the stories we allow others to tell us. History is full of people who have accepted the stories that have been told them; it is equally full of individuals who have forged their own paths, often in substantial opposition to the prevailing wisdom.

What are the opinions operating in your life? Are they helpful? Are they a springboard to success, or a millstone to failure? How are you choosing to respond to them?

L’un des aspects les plus frappants de la vie de ces deux dernières semaines a été la reconnaissance – et l’expérience – des différences culturelles, politiques, professionnelles et personnelles entre les États-Unis et la France. Ces différences sont intensifiées par mon manque de compréhension de la façon dont les choses fonctionnent ou de leur signification, et parfois les différences peuvent sembler écrasantes. Prenez, par exemple, la recherche d’un appartement. Même aux États-Unis, où je comprends plus ou moins le processus et les possibilités, cela peut être une tâche décourageante ; ici, avec tout le monde qui me dit qu’il est TRÈS DIFFICILE de trouver un appartement, le processus a parfois semblé désespéré, et ce désespoir a été intensifié par le fait que le processus est si différent de ce qu’il serait aux États-Unis.

C’est là qu’intervient le pouvoir de transformation de l’art. Grâce à l’art, je suis en mesure d’examiner ce prétendu poids de l’opinion, et aussi de voir comment je veux y répondre ; les réponses peuvent aller de la simple prise de conscience à l’acceptation, au rejet, ou à la recherche d’une voie médiane qui tient compte des différences et va de l’avant. Et cela nous ramène à un article récent sur les histoires que nous nous racontons – et les histoires que nous laissons les autres nous raconter. L’histoire est remplie de personnes qui ont accepté les histoires qu’on leur a racontées ; elle est également remplie d’individus qui ont tracé leur propre chemin, souvent en grande opposition avec la sagesse dominante.

Quelles sont les opinions en vigueur dans votre vie ? Sont-elles utiles ? Sont-elles un tremplin vers le succès ou un boulet vers l’échec ? Comment choisissez-vous d’y répondre ?

Roughly 5″ x 5″ I Pen and ink and graphite on Nepalese bark paper
Environ 12,7 cm x 12,7 cm I Encre et mine sur papier d’écorce népalais

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *