It can be so tempting, when someone we love is absent or exits from our experience, to focus on what we’ve lost, what we’re being deprived of, rather than focusing on what we have gained, what we have been given, how our lives have been enriched. The pain of their absence is a palpable pain. There is the awkward space created by the separation, and the void which isn’t really a void, because it’s filled with an amazing array of energies… just not necessarily energies we would choose to celebrate or hold on to.
But in a way, isn’t the pain proportional to the love? We feel the greatest loss from the greatest love. And being aware of that may allow us to revisit, and ultimately perhaps to reframe, the loss in terms of what has been gained/shared/given/received… precious gifts that have left us richer than we were before.
Il peut être si tentant, lorsqu’une personne que nous aimons est absente ou sort de notre expérience, de se concentrer sur ce que nous avons perdu, ce dont nous sommes privés, plutôt que de se concentrer sur ce que nous avons gagné, ce que nous avons reçu, comment nos vies ont été enrichies. La douleur de leur absence est une douleur palpable. Il y a l’espace gênant créé par la séparation, et le vide qui n’en est pas vraiment un, parce qu’il est rempli d’un étonnant éventail d’énergies… mais pas nécessairement des énergies que nous choisirions de célébrer ou auxquelles nous nous accrocherions.
Mais d’une certaine manière, la douleur n’est-elle pas proportionnelle à l’amour ? Nous ressentons la plus grande perte à partir du plus grand amour. Et être conscient de cela peut nous permettre de revisiter, et finalement peut-être de recadrer, la perte en termes de ce qui a été gagné/partagé/donné/reçu… des cadeaux précieux qui nous ont laissé plus riches que nous ne l’étions auparavant.
Roughly 5″ x 5″ I Watercolor, pen and ink and graphite on paper
Environ 12,7 cm x 12,7 cm Aquarelle, encre et mine sur papier