It always surprises me what an improvisatory process life is… We plan, or not, have an ordered approach to things, or not, and then life comes along, and we respond to the impetus given us. Sometimes what emerges is a wonderful surprise; sometimes it’s pretty much in line with what we were expecting; sometimes it feels pretty shitty. The key is to tune in to what the larger sense of Life — a sense of Life outside of our own. I’m amazed, for example, that dogs know their owners are coming home before they even turn down the street… As we align ourselves with that larger sense of life — allow the possibility that that alignment CAN exist — Life has a way of offering wonderful riches.
This particular post is a case in point. It started out as a VERY controlled drawing… and ended up as a virtual riot of color and energy. In the process, there was just a little angst and ajidah as it was pushing me to move in directions I hadn’t anticipated… but when all was said and done, it’s a joyous riff on the amazing abundance and inexorable energy of spring… an energy perhaps most apparent in spring, but really, going on all year long… every moment, every day.
Je suis toujours surpris de voir à quel point la vie est un processus d’improvisation… Nous planifions, ou pas, nous avons une approche ordonnée des choses, ou pas, et puis la vie arrive, et nous répondons à l’impulsion qui nous est donnée. Parfois, ce qui émerge est une merveilleuse surprise ; parfois, c’est plus ou moins conforme à ce que nous attendions ; parfois, c’est plutôt merdique. La clé est de se mettre à l’écoute du sens plus large de la vie – un sens de la vie en dehors du nôtre. Je suis étonné, par exemple, que les chiens sachent que leurs maîtres vont rentrer à la maison avant même de tourner dans la rue… Lorsque nous nous alignons sur ce sens plus large de la vie – en permettant la possibilité que cet alignement puisse exister – la vie a une façon d’offrir de merveilleuses richesses.
Ce post particulier en est un exemple. Il a commencé comme un dessin TRÈS contrôlé… et a fini comme une éruption virtuelle de couleur et d’énergie. Au cours du processus, il y a eu un peu d’angoisse et d’ajidah car il me poussait à aller dans des directions que je n’avais pas anticipées… mais quand tout a été dit et fait, c’est un riff joyeux sur l’abondance étonnante et l’énergie inexorable du printemps… une énergie peut-être plus apparente au printemps, mais en réalité, qui dure toute l’année… à chaque instant, chaque jour.
6″ x 6″ I Watercolor, gouache, graphite, pen and ink on watercolor paper
15,2 cm x 15,2 cm I Aquarelle, gouache, mine, encre sur papier aquarelle