2017.06.06 Of Doubt, and Worth

Mirror states, containing many of the same energies, many of the same emotions, and through the transformational power of prayer, the darkness of the one lifts to reveal the light of the other.  And a key component of that transformation would appear to be an acknowledgment of the elements of doubt.  Mary Baker Eddy, a pioneering American theologian in the latter part of the 19th and early part of the 20th centuries, made a statement to the effect that the highest wrong is but the supposed opposite of the highest right.  And wrong can be defined to encompass everything that is problematic — health, danger, aggression, lack, displacement…  From her point of view, each of those suggested states, thought of in its opposite manifestation, points to the perfection of reality, and our ability to express that perfection.  Sometimes that reversal takes considerable effort; othertimes it can be nearly effortless.  But the result is the same:  what appears as a negative, seen in its essential state, serves as a confirmation of the positive.

In recent days I’ve been coming to grips with issues of family history — issues that have significantly limited my abilities to do what I need to do in this life.  But the cool part has been that, as I have recognized these limiting beliefs, I have also realized they are not my history.  My experience has been dramatically counter.  And so what has appeared as doubt has been replaced by a confidence and an assurance. 

There no doubt is more to do, but I am truly grateful for the freedom and insight that have been developing.

Des états miroirs, contenant beaucoup des mêmes énergies, beaucoup des mêmes émotions, et grâce au pouvoir de transformation de la prière, l’obscurité de l’un se lève pour révéler la lumière de l’autre. Et un élément clé de cette transformation semble être la reconnaissance des éléments du doute. Mary Baker Eddy, théologienne américaine pionnière de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, a déclaré que le plus grand mal n’est que le contraire supposé du plus grand bien. Et le mal peut être défini comme englobant tout ce qui est problématique – la santé, le danger, l’agression, le manque, le déplacement… De son point de vue, chacun de ces états suggérés, pensé dans sa manifestation opposée, indique la perfection de la réalité, et notre capacité à exprimer cette perfection. Parfois, cette inversion demande un effort considérable ; d’autres fois, elle peut être presque sans effort. Mais le résultat est le même : ce qui apparaît comme un négatif, vu dans son état essentiel, sert de confirmation du positif.

Ces derniers jours, j’ai dû faire face à des problèmes d’histoire familiale – des problèmes qui ont considérablement limité mes capacités à faire ce que je dois faire dans cette vie. Mais ce qui est cool, c’est qu’en reconnaissant ces croyances limitantes, j’ai aussi réalisé que ce n’est pas mon histoire. Mon expérience a été radicalement différente. Et donc ce qui est apparu comme un doute a été remplacé par une confiance et une assurance.

Il y a sans doute encore beaucoup à faire, mais je suis vraiment reconnaissant pour la liberté et la perspicacité qui se sont développées.

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