I love language, and love playing with language, with words. The title for today’s post came from looking at the green and orange and thinking, that orange looks like a bittersweet berry. The latin name for the American Bittersweet vine is Celastrus scandens. Bitttersweet berries are always so delightfully cheerful. But then I thought, yeah, It’s kind of appropriate. This American is kinda bittersweet about not being in Paris yet. I’ve paid a month’s rent on an apartment in Paris because I thought surely I would be there way before now… and the beginning of May is fast approaching and still there is no word on or evidence of my visa. So, yes, it is sort of a bittersweet moment.
It definitely is sweet, don’t get me wrong. Time to spend with friends, old and new; opportunities to share in and experience centuries’ old traditions; opportunities to pray and think deeply about the nature of life, activity, supply; opportunities to enjoy the incredible color that happens in the spring. I’ve been aware this year as never before of all the browns and reds that show up in the spring. In the past, it’s been the myriad shades of green that have been impressive, and they still are, but the reds and browns were somehow more in evidence this year than I remember from years past. Such a delightful series of discoveries!
AND, I would like to be doing all this in Paris.
But for the time being, I’m still here in Ambler. The challenge, and the opportunity, is to appreciate the unique opportunities of these moments, in this place.
J’aime le langage, et j’aime jouer avec le langage, avec les mots. Le titre de l’article d’aujourd’hui est venu en regardant le vert et l’orange et en pensant que l’orange ressemblait à une baie douce-amère. Le nom latin de la vigne douce-amère américaine est Celastrus scandens. Les baies aigre-douces sont toujours si délicieusement joyeuses. Mais ensuite j’ai pensé, oui, c’est assez approprié. Cet Américain est un peu aigre-doux de ne pas être encore à Paris. J’ai payé un mois de loyer pour un appartement à Paris parce que je pensais que j’y serais bien avant maintenant… et le début du mois de mai approche à grands pas et il n’y a toujours pas de nouvelles ou de preuves de mon visa. Alors, oui, c’est une sorte de moment doux-amer.
C’est définitivement doux, ne vous méprenez pas. Du temps à passer avec des amis, anciens et nouveaux ; des occasions de partager et de vivre des traditions vieilles de plusieurs siècles ; des occasions de prier et de réfléchir profondément à la nature de la vie, de l’activité, de l’approvisionnement ; des occasions de profiter de l’incroyable couleur qui apparaît au printemps. Cette année, j’ai pris conscience comme jamais auparavant de tous les bruns et rouges qui apparaissent au printemps. Dans le passé, c’était la myriade de nuances de vert qui était impressionnante, et elle l’est toujours, mais les rouges et les bruns étaient en quelque sorte plus évidents cette année que ce dont je me souviens des années précédentes. Une telle série de découvertes est délicieuse !
ET, j’aimerais bien faire tout cela à Paris.
Mais pour l’instant, je suis toujours ici, à Ambler. Le défi, et l’opportunité, est d’apprécier les opportunités uniques de ces moments, dans cet endroit.
4″ x 4″ I Pen and ink, watercolor, graphite, and gold marker on watercolor paper
10,1 cm x 10,1 cm I Encre, Aquarelle, mine et marqueur or sur papier aquarelle